Voyance sincère

La voyance, encore une science ou une omniscience ? On ne sait pas vraiment la nature, mais ce qui est sûr, c’est que depuis des années, et des lustres, beaucoup l’ont pratiquée et au 21e siècle, nous sommes encore dans le domaine de la clairvoyance et de la prédiction. Le domaine a été mis en étude et s’améliore chaque année pour nous donner une entière satisfaction, que ce soit dans la clarté, la précision ou l’exactitude des prédictions.

Les voyants suisses

Partout dans le monde réside les meilleurs voyants et ce qui a le plus de talent sont les plus convoités, en ce moment, d’innombrables voyants existent en Suisse et cela a été prouvé grâce à des sondages. Et oui la vie regorge de surprise et ce qui se passera demain ou dans l’avenir reste un point d’interrogation, nous sommes des humains et c’est pour cela que l’on est avide de connaissances et d’informations, nous sommes toujours à la recherche du meilleur et voulant toujours tout comprendre, on ne peut se contrôler des fois. Les voyants sont là pour nous aider à ce sujet et font tout pour parfaire leurs talents afin de nous donner satisfaction et de nous donner réponse à toutes les questions auxquelles on n’a pas réponse. Lucerne, Lugano, Altdorf, Le Locle, des villes comme celle-ci regorgent de talent et vous n’en verrez pas mieux, on peut vous le garantir, il existe encore bien d’autres et cela ne reste des exemples dans nos propos pour vous dire que les voyants venant de Suisse sont les meilleurs.
Le désir de tout savoir et de tout avoir fait partie de l’être humain et oui c’est normal, car sans ces désirs, on n’avance en rien et l’on n’évoluera jamais, cependant, il y a des choses que l’on peut savoir et que l’on ne peut acquérir sans avoir recours au surnaturel et la voyance, médiumnité ou autre univers, les meilleurs voyants sont là pour vous aider dans votre quête et vous éclaircir les idées en les enlevant du côté sombre. Des voyants de renoms sont à votre service et vous pourriez leur parlez de tout, que ce soit dans le cadre du travail, votre situation amoureuse (se), financièrement ou autre… Beaucoup de personne ont déjà bénéficié de l’aide de ces personnes ayant une faculté hors-norme et qui sont dans le domaine de l’art divinatoire pour mieux le faire vivre l’inévitable ou de remédier aux catastrophes ou préparer le venu d’une bonne nouvelle ou autre…. Dans chaque explication que le voyant de votre choix vous demande, on arrive plus ou moins à percevoir et qui va se passer dans l’avenir, mais aussi nous fait comprendre qu’il y a un sens à tout, même juste dans le sujet de notre existence. En effet, si on veut avoir une bonne séance de voyance, on cherche les meilleurs dans le domaine de l’art divinatoire et se concentre plus sur le fait de comment en trouver, nous ne vous pressons pas, mais comme on l’a dit les meilleurs voyants de Suisse sont inscrits dans notre site internent et vous avez largement le choix, que celui-ci vient de suisse ou d’autre part, vous ne serez en aucun ça déçu de trouver une personne de votre choix pour une séance d’art divinatoire.

Séance de voyance avec un pratiquant suisse

Il est clair que les voyants ont chacun leurs méthodes d’approche ou d’autres expériences de pratiques, mais ils ont en commun leurs métiers et savent bien évidemment s’y prendre ; nous vous invitons à consulter notre site où il y a le plus de voyants et les meilleurs en Suisse, vous ne serez pas déçu et nous pouvons vous le garantir, en tout cas ce qui est sûr, c’est qu’il n’y a pas trop de règles pour se mettre en contact avec un voyant suisse et cela se traduira par l’ergonomie de notre site et des mises en contact. En effet, vous n’avez qu’à entrer dans le site et de prendre les infos que vous voulez sur les voyants que vous voyez, prendre contact et de tout de suite avoir droit à une séance sans tarder. Nous avons tout fait dans votre intérêt et vous pouvez être certain que vous n’avez rien à perdre. Pour la première fois, la plupart des voyants vont se familiariser avec vous et au fur et à mesure que vous le côtoyer, vous deviendrez membre à part entière de ce site et bénéficiera d’autres fonctionnalités ou de réduction ou autres choses en votre faveur.

La prière est quelque chose que beaucoup ont appris depuis l’enfance et de différentes manières selon la religion à laquelle ils appartiennent. Chacun de nous acquiert, au fil du temps, une manière personnelle de prier basée sur ses propres sentiments mais, souvent, la simple prière ne nous permet pas d’obtenir ce que nous demandons quand nous prions. Nous verrons maintenant pourquoi cela se produit.

S’il est vrai que prier est une habitude courante, nous prions rarement consciemment ; nous le faisons souvent automatiquement, par exemple lorsque nous nous rasons ou lorsque nous allons faire les courses. Peu de gens comprennent réellement la fonction et l’importance que la prière peut avoir dans la vie d’une personne et comment elle peut souvent la changer pour le mieux, si elle réussit à se connecter avec le Tout par elle.

Nos parents, nos enseignants et nos tuteurs nous enseignent depuis l’école à prier comme ils le faisaient eux-mêmes, mais personne, ni eux ni nous, ne nous sommes jamais demandé quel était le pouvoir et la signification de la prière et de ses paroles. Prier est, à mon avis, un geste de grande conscience qui doit être fait de manière consciente, en réservant de l’espace pendant la journée, afin de pouvoir mieux se concentrer et communiquer directement avec Dieu.

Maintenant, peu importe le type de prière que vous décidez de réciter, d’apprendre à l’école ou d’improviser pour demander un changement dans une situation qui ne se passe pas dans votre vie, vous devez y mettre votre intention, en comprenant que dès que vous commencez à prier, vous entrez en contact avec Dieu, et vous réalisez votre Unité avec Son Esprit, car nous sommes en Lui et, par la prière, nous avons l’opportunité de communiquer et demander son aide.

Pour que ce que nous avons demandé par la prière devienne réalité dans notre vie, il faudra d’abord avoir la Foi. Nous devons croire en une existence supérieure qui pourrait être Dieu pour les catholiques, Allah pour les musulmans, la Matrice Divine pour les physiciens quantiques, mais le résultat sera toujours le même, à condition que nous priions avec le cœur, éliminant l’esprit. En fait, ce n’est qu’en éliminant le mental avec ses modèles qu’il sera possible de prier avec le cœur et de se mettre, par conséquent, en relation avec Dieu.

C’est par le langage du cœur que Dieu écoute nos prières, quelle que soit la beauté des paroles prononcées. Dans ce cas, en fait, il suffira d’être connecté ; la forme d’expression verbale sera d’importance secondaire. Vous serez sûr d’être connecté avec Dieu quand vous commencerez à prier avec le cœur. Si, par contre, on continue à prier seulement avec le mental, on court le risque de ne pas voir ses demandes satisfaites, car on restera ainsi enraciné dans ses peurs.

Ce n’est donc qu’après avoir ouvert votre cœur que vous aurez l’occasion de communiquer avec Dieu. A partir de ce moment, notre cœur deviendra comme une antenne qui transmettra nos prières à la Source et recevra toujours une réponse. Si, d’une part, la méditation et la prière se font avec le cœur et ont pour but d’annuler l’esprit, la méditation se fait en silence, en regardant à l’intérieur de nous, parfois en disant des mantras, alors que, par la prière, certains mots sont prononcés pour se connecter avec Dieu, en restant dans un état de vigilance.

Un exemple typique de prière aux effets prodigieux est celui récité par les Amérindiens lorsqu’ils dansent sous la pluie ou demandent une riche récolte. A ce moment-là, celui qui prie devient un avec la divinité priée, mais pas seulement ; en priant, imaginez déjà ce qu’il a demandé comme réalisé, vivant à partir de ce moment avec ce sentiment d’accomplissement dans le cœur, qui, en plus de changer son état d’esprit, fera le miracle exigé de la divinité elle-même.

Le mot canalisation désigne les communications reçues par télépathie de toutes les formes de vie qui ne possèdent pas de corps. Canaliser signifie littéralement : canaliser.
Les communications médiatiques étaient autrefois des phénomènes rares, réservés à quelques individus appelés médiums, c’est-à-dire des personnes qui ont pu abandonner leur identité et prêter leur corps à ceux qui ne l’avaient pas. Grâce à la disponibilité de ces personnes, de nombreuses entités spirituelles ont pu communiquer avec nous et nous transmettre leur philosophie riche en amour et en sagesse.

Au cours des deux mille ans, la possibilité de communiquer avec ceux qui n’ont pas de corps est devenue très répandue et n’importe qui peut facilement canaliser les messages et les directions. Mais, malgré sa propagation actuelle, la canalisation est toujours considérée avec peur et superstition, et mal partagée avec la magie noire.

Il n’est pas facile d’ouvrir le dialogue et de parler de ces questions, car l’ignorance fait grandir les idées préconçues en bloquant la diffusion de l’information et le développement du savoir. Aujourd’hui, la pire forme de racisme est féroce, surtout avec ceux qui n’ont pas de corps, niant le droit d’exister.

Tout ce qui ne peut être touché dans notre culture matérialiste est considéré comme irréel et donc ignoré. Avec cette indifférence écrasante, nous négligeons tout ce qui échappe aux cinq sens. La sensibilité, les émotions, l’amour…. appartiennent au domaine des choses immatérielles et pour cette raison ils sont dépourvus de considération, de respect et d’attention. Mais ce faisant, nous oublions que ces choses très immatérielles ont le pouvoir de rendre la vie digne d’être vécue et excitante d’une voyance très sérieuse.

Quelle vie serait en fait une vie sans émotions ? Si la dépression, la maladie du siècle, nous fait si peur, c’est précisément parce que le manque d’émotions qui la caractérise, rend même la mort préférable. La pensée matérialiste, avec sa prétention au concret absolu, a effacé la sensibilité des gens, nous transformant en robots sans cœur et rendant la psyché folle. En fait, négliger les expériences émotionnelles crée les conditions d’un dangereux manque de contact avec la partie la plus vitale de nous-mêmes et s’enfonce progressivement dans les sables mouvants de la maladie mentale.

Nous, les êtres humains, nous ne sommes pas seulement constitués d’un corps physique dense. Nous sommes des êtres énergétiques multidimensionnels complexes, composés de différents corps subtils d’énergie/conscience qui entourent et pénètrent le corps physique.
Nous sommes des êtres multidimensionnelsDans leur ensemble, ils sont appelés : Corps de Lumière ou Champ d’Energie Humain (les noms anglais les plus utilisés sont Corps de Lumière, Système d’Energie Humain ou Champ d’Energie Humain). Dans le monde des disciplines holistiques, nous les désignons par le terme Aura ou Champ Aurique. Dans la littérature ésotérique, on les appelle aussi Véhicules de la Conscience. Dans ce contexte, nous utiliserons le nom « Corps de Lumière ».

La science moderne a également vérifié que les êtres humains ne sont pas seulement un corps physique, mais – comme tout le reste dans cet univers manifeste – une énergie en mouvement. Chaque être humain est un « être énergétique » multidimensionnel, avec son propre corps de lumière subtil et unique, qui contrôle, gouverne et conditionne le corps physique extérieur.

Le corps de lumière :
Corps de lumière

– Il se compose de plusieurs couches ou « corps » (au sens immatériel du terme) sous la forme d’une bulle ovale qui pénètre le corps physique et oscille à l’intérieur et autour de lui. Chaque corps énergétique (éthérique, émotionnel, mental, etc.) est composé d’énergie électromagnétique qui vibre à des fréquences plus élevées que celles du corps du niveau immédiatement inférieur. Le corps physique est celui qui a les vibrations les plus lentes et les plus denses.

– Il vibre à différents niveaux de fréquence et d’intensité et émet l’énergie et la force vitale d’une personne sous la forme de couleurs vives, de lignes, de points et de formes. Elle rayonne au-delà du corps physique jusqu’à une distance de 5 à 10 mètres, en fonction du mode de vie et de l’état physique, émotionnel, mental et spirituel de la personne.

– C’est une empreinte énergétique ou un reflet direct de notre véritable développement intérieur et spirituel. Il contient notre « registre karmique » et toutes les expériences de notre vie actuelle et passée, y compris nos pensées, sentiments, désirs, émotions, attitudes, peurs, traumatismes, perceptions, communications et interactions.

Le corps humain de Lumière et les corps énergétiques subtils qui le composent :

– Ils sont directement associés à chacun des chakras majeurs : chaque corps énergétique a ses propres fonctions spécifiques et se distingue par le niveau de conscience qu’il exprime à travers les différents aspects de l’être intérieur ;

– Ils nous mettent en communication avec les plans subtils de l’existence, nous permettant d’exister simultanément à la fois dans notre dimension 3D actuelle de la conscience et dans les plans supérieurs de la conscience, c’est-à-dire les niveaux multidimensionnels du champ énergétique universel, dans lesquels le corps de lumière humaine est sculpté. Le Corps de Lumière reflète la note distinctive de chaque personne individuelle, c’est-à-dire la partie spécifique du Champ d’Energie Universel que nous appelons « individualité », et qui est interconnectée et fusionnée avec tous les autres champs énergétiques, et partie de la Vie Universelle Une.

Ce que nous appelons « mort » représente la naissance dans une vie nouvelle. Pour la majorité des âmes, il s’agit d’un événement agréable car, en entrant dans une nouvelle vie, elles pourront enfin quitter leur corps (enveloppes physiques), comme si elles laissaient leurs vêtements de travail pour pouvoir porter leurs vêtements de fête.

Contrairement au suicide, la soi-disant « mort » n’est pas à craindre, même si elle nous surprend et si elle nous fait souffrir en partie. Beaucoup de gens ont plus peur de longues journées de maladie et de douleurs possibles que de la soi-disant « mort ». Cependant, les maladies et les douleurs ne doivent pas être considérées comme une punition, mais acceptées, paradoxalement, avec un sentiment de gratitude en voyance, parce qu’elles nous aident à purifier le karma issu de cette vie ou des précédentes.

La soi-disant « mort » ne doit pas représenter un événement dérangeant et effrayant, car le passage de la forme physique-terrestre à la forme éthérique est une libération, que nous pouvons espérer pour chaque homme et pour son âme, qui le désire et en a besoin.

Personne ne devrait être affligé par l’âme d’un parent ou d’un ami qui part, parce qu’en fait, cela vit à un autre niveau, invisible à nos yeux physiques. Tout homme affligé ou tourmenté par la « mort » d’un être cher est, dans un certain sens, égoïste (bien que cela soit très compréhensible) car, ce faisant, il empêche l’âme percée d’évoluer et de suivre sa propre voie. Les condoléances prolongées, en effet, relient l’âme du défunt à l’environnement terrestre, le retiennent et empêchent son chemin de détachement.

Voici ce que dit S. Germano à ce sujet : « Cordoglio et le tourment sont un grand égoïsme, pas l’amour ; le désaccord est égoïsme, pas l’amour ; l’indifférence est égoïsme, pas l’amour et la pitié de soi-même, est le maximum de l’impardonnable égoïsme. Celui qui éprouve le véritable amour pour l’âme qui est décédée, doit la laisser continuer avec un cœur libre et joyeux ; cela l’aide à se libérer des conditions terrestres ».

Nous célébrons chaque naissance « dans la grandeur », tandis que pour chaque passage nous pleurons. Mais si nous pouvions comprendre le tourment que chaque âme subit lorsqu’elle entre dans un vêtement terrestre, qui pour elle est comme une prison dans laquelle elle est écrasée ; nous pourrions aussi comprendre que le passage (la mort), au contraire, est pour l’âme une libération et que pour cette raison, nous devrions être heureux, comme nous le faisons quand il y a une naissance.

Ne parlons donc plus désormais de « mort », mais de passage. Malheureusement, beaucoup d’hommes égoïstes et possessifs seront en difficulté avec ces faits, du moins jusqu’à ce que le voile de l’esprit soit levé et que leur conscience s’élargisse.

Tout être humain perçoit la mort comme le dernier prédateur à affronter, le passage inexorable qui attend tout homme, de toute condition sociale, latitude et croyance philosophique ou religieuse. Chacun de nous, dans la partie la plus cachée de notre être, se demande si la mort est l’expérience définitive avec laquelle nous sommes consignés dans le néant absolu, ou si elle n’est qu’un passage vers une nouvelle condition existentielle.

Toutes les cultures humaines qui se sont succédées dans l’histoire, depuis leur apparition, ont considéré la mort comme le passage vers l’au-delà et un medium comme le moyen d’y travailler . Les cultures préhistoriques y voyaient une réunion avec leurs ancêtres. Les cultures anciennes les plus avancées, comme les cultures sumérienne, égyptienne et grecque, croyaient que la mort était le début d’un voyage qui emmenait le défunt vers un lieu inconnu, mais toujours de « type physique », où il pouvait commencer un nouvel état de vie. Il fallait attendre que les religions orientales, comme l’hindouisme et le bouddhisme, témoignent d’une conception plus « spirituelle » de la vie au-delà de la mort, jusqu’à ce que le christianisme parle même de « résurrection des corps ».

Peut-être que la seule culture qui a perdu la question fondamentale de la mort, et donc de la vie, est précisément la culture contemporaine. Intrus de matérialisme sceptique, généré par une interprétation partielle ou incorrecte de la révolution scientifique et des Lumières, l’homme de notre temps ne pense plus à la mort, et s’il y pense, il tend à la considérer comme la désintégration définitive de l’expérience existentielle.

Avec la perte du sens de la mort, cependant, paradoxalement, nous assistons aussi à une perte du sens de la vie. Pourtant, c’est peut-être la science elle-même qui pourrait jeter un nouvel éclairage sur le mystère de la mort, à commencer par les études les plus récentes sur les expériences d’avant la mort et les découvertes de la physique quantique.

Quasi-mort » :
Avant la mortL’expérience d’avant la mort est l’un des événements les plus énigmatiques qui puissent se produire dans la vie d’une personne. Les patients qui ont vécu cette expérience la décrivent comme un sentiment de paix, le début d’un voyage vers une source de lumière intense, souvent accompagné d’une rencontre avec des membres défunts de la famille, qui recommandent parfois à la personne de retourner à la vie terrestre, pour compléter son cycle existentiel.

Intrigués par ces histoires, plusieurs scientifiques ont commencé à mener des recherches sur le phénomène, essayant de comprendre d’où il vient. Ce qui est le plus surprenant, c’est la similitude des visions racontées par les patients en état de pré-mort : quel que soit leur âge, leur origine et leur culture, toutes disent à peu près la même vision.

Parmi les études les plus intéressantes sur le sujet, citons celles du Dr Laura Wittman, chercheuse à l’Université de Stanford, qui a analysé toute la littérature produite depuis 1880 sur les expériences de la pré-mort, y compris les scénarios de films contemporains tels que « Brainstorm » (1983) et « Linea Mortale » (1990), et les œuvres de science fiction de « Bernard Werber », telles que « Les Thanatonautes » (1994) et « Passage » (2001) de « Connie Willis ».

En comparant les données tirées de la littérature avec celles de la science, Wittman a identifié une similitude substantielle entre les histoires de quasi- mort décrites dans les romans et celles décrites par les patients dans la réalité. Le chercheur en a tiré quelques conclusions : « La codification littéraire de ces expériences nous permet d’examiner les histoires de mort imminente dans le contexte de l’évolution de la recherche scientifique sur ce sujet », explique Wittman. « Au fil des décennies, des récits de mort imminente ont été inclus dans des dizaines de romans et de films, comme pour combattre l’invisibilité croissante de la mort dans notre culture, où la mort est devenue une affaire essentiellement privée, souvent consommée dans une terrible solitude.